Géraldine GILBERT
L'atelier des cocottes chéries - L'éclosoir à projet(s)
 
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Vos croyances limitantes vous empêchent-elles d’exercer le métier idéal pour vous ?


Dans le domaine professionnel, nos pensées peuvent devenir nos pires ennemies.

Ces croyances limitantes – ces petites phrases intérieures du style « Je ne suis pas assez diplômée » ou « Ce métier n’est pas fait pour moi » – agissent comme des freins invisibles.

Elles sont particulièrement présentes chez de nombreuses femmes en quête d’une carrière épanouissante. D’après une enquête Ifop récente, 7 femmes salariées sur 10 se disent insatisfaites de leur situation professionnelle actuelle, et 57 % rêvent carrément de reconversion parlonsrh.com.

Pourtant, peu osent franchir le pas. Pourquoi un tel écart entre l’envie et l’action ? Bien sûr, des contraintes externes existent (financières, familiales...), mais nos freins internes jouent un rôle tout aussi déterminant. Ce sont ces convictions ancrées – souvent fausses – qui nous susurrent : « Tu ferais mieux de rester à ta place ».

Spoiler : ces croyances ne sont pas une fatalité. On peut les repérer, les comprendre, puis les dépasser.

Dans cet article, nous allons explorer comment identifier ces auto-sabotages mentaux, d’où ils viennent (un mélange de psychologie personnelle et de pressions sociétales), et comment les surmonter pour enfin oser le métier de vos rêves.

Mesdames, il est temps de faire un peu de ménage dans nos têtes !

Croyances limitantes :
qu’est-ce que c’est,
au juste ?

Une croyance limitante est une idée reçue ou un préjugé sur vous-même que vous tenez pour vrai, alors qu’il s’agit souvent d’une interprétation erronée.

Ce sont des pensées du type : « Je ne suis pas capable de… », « Je ne mérite pas… », « Ce n’est pas pour des gens comme moi ».

Ces croyances deviennent un problème lorsqu’elles vous empêchent d’avancer, vous freinent dans vos projets ou vous font renoncer avant même d’avoir essayé. Elles fonctionnent comme un auto-censure intériorisé.

Quelques exemples concrets de croyances limitantes courantes chez les femmes qui envisagent une évolution ou une reconversion professionnelle :

  • « Je ne suis pas assez diplômée/compétente pour ce poste. »
  • « À mon âge, il est trop tard pour changer de carrière. »
  • « Avec ma vie de famille, je ne pourrai jamais gérer un job aussi prenant. »
  • « Ce métier est un milieu d’hommes, je ne vais pas m’y faire respecter. »
  • « Je vais échouer et tout le monde verra que je n’étais pas à la hauteur. »

Vous reconnaissez-vous dans l’une de ces petites phrases ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seule.

Par exemple, le syndrome de l’imposteur – ce sentiment de ne pas être légitime malgré ses réussites – touche plus d’une femme sur deux en France (54 %), contre 45 % des hommes culture-rh.com.

Autrement dit, les femmes ont tendance à se dévaloriser davantage. Conséquence : on n’ose pas saisir certaines opportunités. Qui n’a jamais laissé passer une offre d’emploi idéale parce qu’elle ne cochait pas 100 % des cases demandées ?

Une étude interne chez Hewlett-Packard a ainsi révélé que les hommes candidatent à une promotion lorsqu’ils estiment remplir 60 % des critères, quand les femmes attendent d’en remplir 100 % minutesimone.fr !
Ce surplus d’autocensure peut coûter cher en opportunités manquées.

En somme, une croyance limitante, c’est cette petite voix intérieure qui déforme la réalité en notre défaveur. Elle généralise un échec ponctuel (« Je n’ai pas réussi cet examen » devient « je suis nulle, je n’y arriverai jamais »), ou elle s’appuie sur un stéréotype (« tel métier n’est pas pour les femmes »), jusqu’à nous convaincre de renoncer.

Pour aller de l’avant, il faut d’abord comprendre d’où viennent ces croyances qui parasitent notre confiance en nous.

D’où viennent ces pensées qui nous brident ?

Nos croyances limitantes ont des origines multifactorielles, à la fois psychologiques et sociétales.

Autrement dit, certaines viennent de notre histoire personnelle (éducation, expériences passées), d’autres sont inculquées par la culture et la société dans laquelle on vit.

  • L’héritage de l’éducation et de l’enfance (psychologie personnelle) : Dès le plus jeune âge, nous intégrons des messages de notre entourage. Des parents très exigeants, des remarques de professeurs ou d’autres figures d’autorité peuvent semer en nous l’idée que « je dois être parfaite pour avoir de la valeur » ou que « je ne dois pas dépasser ma place ».
    Par exemple, on a souvent valorisé les petites filles pour leur discrétion, leur sérieux, et on pardonne plus facilement aux garçons leurs échecs scolaires en les attribuant à des facteurs externes (« il n’a pas eu de chance »).
    Une vaste étude internationale publiée dans Science a montré que même à performance égale, les adolescentes de 15 ans ont davantage tendance à attribuer leurs échecs à un manque de talent personnel, là où les garçons invoquent plutôt la malchance ou des causes extérieures tf1info.fr. Autrement dit, beaucoup de femmes apprennent dès l’enfance à douter d’elles en cas d’échec, intériorisant l’idée qu’elles ne sont “pas assez bien”. Ce perfectionnisme inculqué peut plus tard donner le fameux « je ne suis pas assez diplômée/compétente ». De plus, si dans votre famille on valorisait la sécurité ou si l’on considérait certains métiers comme « inappropriés » pour une femme, ces croyances ont pu s’ancrer profondément en vous. Nous construisons notre identité avec ces schémas : par loyauté ou habitude, on finit par prendre pour vérités de simples opinions entendues dans notre entourage.
  • Les stéréotypes de genre et les normes sociales (pression sociétale) : Notre société véhicule encore de nombreux stéréotypes sur ce que les femmes “devraient” ou ne devraient pas faire.
    Par exemple, l’image de « la femme trop émotive pour diriger » ou « des métiers de mec » dans lesquels les femmes ne seraient pas à leur place reste tenace. Ces clichés ont un impact réel sur l’auto-perception. Selon une chercheuse, les stéréotypes de genre solidement ancrés pourraient multiplier par trois le syndrome de l’imposteur chez les femmes lemonde.fr.
    Être l’une des rares femmes dans un secteur masculin (informatique, BTP, hautes responsabilités...) accentue le sentiment de décalage : difficile d’avoir confiance quand on ne voit presque aucun modèle féminin autour de soi.
    La société – et parfois nos proches – envoient des messages qui limitent : « Tu veux devenir développeuse web ? Pourtant tu n’as pas fait d’école d’ingénieur… », « L’ambition, ce n’est pas très féminin… », « Ce n’est pas un métier pour une mère de famille ».
    À force, même inconsciemment, on finit par y croire et s’auto-limiter.

Ces facteurs combinés expliquent pourquoi tant de femmes se sous-estiment professionnellement.

Les chiffres en France le confirment : une majorité de femmes cadres admettent manquer de confiance en elles au travail, et beaucoup d’aspirations restent bridées.

Par exemple, parmi les femmes déjà haut placées (cadres dirigeantes), celles qui renoncent à viser un poste au comité de direction invoquent à 64 % le sentiment de ne pas être légitimes pour ces fonctions michaelpage.fr.

Cela montre à quel point même arrivées au sommet, les femmes peuvent se sentir illégitimes à aller encore plus loin. Le verrou mental est bien réel, peu importe le niveau de compétence réel.

Quel est l’impact
sur votre carrière ?

Des rêves professionnels mis de côté, des talents inexploités, un sentiment d’être “coincée” dans un job qui ne nous correspond pas… Les croyances limitantes peuvent avoir des conséquences concrètes et malheureuses sur nos trajectoires.

Reprenons l’exemple de « Je ne suis pas assez qualifiée pour ce métier idéal ».

Que se passe-t-il si vous prenez cette pensée au pied de la lettre ? Vous n’envoyez même pas votre candidature, vous restez dans votre zone de confort (ou d’inconfort, en l’occurrence). Vous passez peut-être à côté d’une superbe opportunité, alors même que l’employeur aurait pu être intéressé par votre profil. Comme le décrit une coach, c’est « l’opportunité rêvée, mais vous pensez ne jamais pouvoir y accéder, donc vous ne tentez même pas » purplesquirrel.fr. Ce scénario est fréquent.

Plus globalement, les études montrent que ces freins intérieurs pèsent lourd dans les projets d’évolution des femmes. Une enquête sur la reconversion des femmes a mis en évidence que, au-delà des aspects financiers et logistiques, les doutes et craintes sur l’avenir sont cités par 45 % des femmes qui hésitent à changer de voie parlonsrh.com. La peur de “repartir de zéro” dans une nouvelle carrière arrive en tête des obstacles signalés parlonsrh.com. On voit bien la croyance sous-jacente : « Si je change de métier, je vais échouer et perdre tout ce que j’ai construit ». Cette anticipation du pire, souvent exagérée, paralyse l’action.

Autre impact : rester en deçà de son potentiel. Beaucoup de femmes talentueuses stagnent dans des postes qui ne les épanouissent plus, simplement parce qu’elles n’osent pas se projeter plus haut. Le fameux « syndrome de l’imposteur » en est une illustration extrême : on attribue ses succès à la chance, on minimise ses compétences, et on vit dans la crainte d’être “démasquée” un jour. Cela peut mener à refuser des promotions ou des projets stimulants par auto-dénigrement. Or, refuser systématiquement de nouvelles responsabilités pour cause de doute chronique peut freiner durablement une carrière.

Enfin, ces croyances peuvent créer un mal-être au travail. Rester par résignation dans un job qui ne respecte pas vos valeurs ou vos aspirations cause de la frustration, voire de l’épuisement moral. Beaucoup de femmes en viennent à rêver de tout plaquer. On parle d’une « grande démission » au féminin : 57 % des femmes envisagent une reconversion professionnelle dans les années à venir parlonsrh.com. Ce chiffre reflète souvent l’accumulation de désillusions et de freins non surmontés. Plutôt que de changer radicalement sous le coup de la frustration, il serait plus sain de débloquer progressivement ces freins afin d’évoluer sereinement vers un métier qui vous correspond vraiment.

Comment repérer ses croyances limitantes ?

La première étape pour battre un ennemi, c’est de le détecter.

Or, nos croyances sont parfois tellement ancrées qu’on les confond avec la réalité.

Voici quelques pistes pour prendre conscience de vos croyances limitantes :

  • Écoutez votre discours intérieur : Soyez attentive aux phrases automatiques que vous vous répétez, surtout face à une opportunité ou un défi. Par exemple, si l’on vous parle d’un poste intéressant et que votre première pensée est « Je ne pourrais pas, je n’ai pas assez d’expérience », notez-le. Ces réflexions spontanées sont de précieux indicateurs.
  • Repérez les généralisations et les absolus : Les croyances limitantes s’expriment souvent avec des mots comme toujours, jamais, personne, tout le monde. « De toute façon, je n’ai jamais été douée pour parler en public » ou « Personne ne me prendra au sérieux si… ». Si vous entendez un jamais ou un toujours dans votre tête, redoublez de vigilance : la réalité est rarement aussi tranchée.
  • Identifiez les émotions négatives récurrentes : Une croyance limitante bien installée s’accompagne souvent de peurs ou de tristesse. Par exemple, une peur tenace à l’idée de reprendre des études peut cacher la croyance « je suis trop vieille pour apprendre ». Une forme d’envie envers des femmes qui osent se lancer dans tel ou tel domaine peut révéler votre propre croyance « ce n’est pas pour moi, je n’y arriverai pas ». En mettant le doigt sur ces émotions, vous remontez vers la pensée qui les déclenche.
  • Demandez-vous “quelle est mon excuse ?” : Lorsque vous rêvez à votre métier idéal ou à un projet professionnel qui vous ferait vibrer, quelle est la première excuse que vous trouvez pour ne pas y aller ? « Je n’aurai pas le temps avec les enfants », « financièrement ce n’est pas raisonnable », « je ne suis pas assez ceci ou trop cela… ». Écrivez cette phrase. C’est très probablement votre croyance limitante principale du moment. Prenez conscience que ce n’est qu’une croyance, pas une vérité absolue.

En faisant ce travail d’observation, vous commencerez à voir vos auto-saboteurs noirs sur blanc.

C’est un pas essentiel : on ne peut pas corriger une croyance dont on n’a pas conscience.

Félicitations, vous êtes déjà en train de desserrer un premier frein !

Dépasser ses croyances limitantes :
des outils concrets

Repérer ses croyances limitantes, c’est bien, mais les surmonter, c’est mieux !

Pas de panique, déconstruire des années de doutes infondés ne se fait pas en un jour, mais voici quelques outils concrets pour entamer le processus et retrouver de la marge de manœuvre :

  • 1. Mettez vos croyances à l’épreuve de la réalité. Traitez votre croyance comme une hypothèse à tester, pas comme un fait établi. Par exemple, si vous pensez « je ne suis pas assez diplômée pour ce poste », cherchez des contre-exemples : Connaissez-vous des personnes sans le diplôme X qui ont réussi dans ce métier ? (Spoiler : oui, il y en a 😉). Avez-vous déjà acquis des compétences par d’autres voies (formations courtes, autodidacte) ? Posez la question autour de vous ou à des recruteurs du secteur : est-ce réellement rédhibitoire de ne pas avoir tel diplôme ? En confrontant votre croyance à des informations concrètes, vous la relativisez. Souvent, on réalise que « pas assez diplômée » signifie en fait « j’ai un parcours atypique, mais pas moins valable ». La réalité du terrain peut invalider bien des croyances théoriques.
  • 2. Reformulez en tournant la croyance de façon positive. C’est la technique des croyances aidantes. Prenez la pensée limitante et transformez-la en une affirmation plus constructive. Par exemple : « Je n’ai pas telle compétence aujourd’hui, mais je peux l’acquérir avec le temps ou une formation » au lieu de « Je n’ai pas cette compétence, donc je n’y arriverai pas. » Ou encore, « Ce métier m’intimide parce qu’il est nouveau, donc je vais me faire accompagner pour apprivoiser le terrain ». On ne s’agit pas de se mentir ni de tomber dans un optimisme naïf, mais d’ouvrir le champ des possibles. Une croyance aidante donne du pouvoir d’agir, là où la croyance limitante le confisque. N’hésitez pas à écrire noir sur blanc la nouvelle phrase et à la relire régulièrement pour reprogrammer doucement votre esprit.
  • 3. Utilisez la technique du “dialogue avec soi”. Prenez du recul et parlez à voix haute, comme si vous conseilliez une amie. Par exemple : « Tu crois ne pas être à la hauteur, mais qu’est-ce qui te prouve ça ? Et si justement tu essayais, que pourrait-il se passer de pire ? ». Souvent, en se posant ce genre de questions, on réalise que le pire scénario imaginé (« tout le monde va se moquer de moi ») est soit hautement improbable, soit pas si dramatique. Inversement, demandez-vous : « Que se passera-t-il si je n’essaie jamais ? ». Cette projection aide à relativiser la peur de l’échec et à raviver l’envie d’agir.
  • 4. Faites appel à un soutien extérieur. Parler de vos blocages avec quelqu’un de confiance (une amie, un mentor, un coach) peut vous aider à dédramatiser vos croyances. Un regard extérieur voit souvent le potentiel que vous, vous minimisez. Par exemple, telle amie vous rappellera que vous avez brillamment géré telle situation difficile – ce que vous, sous l’effet de l’auto-dépréciation, aviez oublié. Rejoindre des réseaux de femmes dans le domaine qui vous intéresse peut aussi être très motivant : on y partage des expériences, on y rencontre des rôles modèles qui ont surmonté les mêmes doutes. Seule, on rumine ses croyances ; à plusieurs, on se rend compte qu’elles sont communes et surmontables.
  • 5. Passer à l’action par petits pas. Rien ne détruit mieux une croyance limitante que l’expérience directe qui la contredit. Vous pensez « ce métier n’est pas fait pour moi » ? Tentez un premier pas dans ce domaine pour tester : inscrivez-vous à un atelier d’initiation, faites du bénévolat dans le secteur, interrogez un professionnel du métier… Par exemple, vous vous dites « entreprendre me fait trop peur » : pourquoi ne pas commencer par développer un micro-projet en parallèle, juste pour voir ? Chaque petite victoire, chaque pas en dehors de votre zone de confort viendra affaiblir la croyance limitante en prouvant que « si, c’est possible ». L’idée est d’engranger des preuves concrètes de vos capacités. Graduellement, votre mental intègre de nouvelles convictions plus positives : « j’en suis capable », « j’apprends en faisant », « j’ai le droit d’essayer ».

En appliquant ces outils, vous allez progressivement reprogrammer votre esprit vers plus de bienveillance envers vous-même.

C’est un entraînement : un pas après l’autre, la petite voix critique laissera place à une voix encourageante. N’oubliez pas que changer de croyances, c’est possible – de la même façon que vous avez appris celles d’avant, vous pouvez apprendre à penser autrement, d’une manière qui vous porte plutôt que vous freine.

Vos valeurs : la boussole vers votre métier idéal

Il serait dommage de parler de croyances (ce qui vous freine) sans parler de valeurs (ce qui vous pousse en avant). Les valeurs, ce sont les principes et aspirations profondes qui vous tiennent à cœur : par exemple l’entraide, la créativité, la liberté, la justice, l’aventure, la sécurité... Identifier vos valeurs dominantes est crucial, car elles sont votre boussole intérieure pour trouver un métier fait pour vous. Elles donnent du sens à ce que vous faites.

Beaucoup de femmes se sentent bloquées par leurs croyances limitantes alors même qu’une petite voix positive, celle de leurs valeurs, essaie de se faire entendre. Par exemple, vous pouvez avoir la valeur “transmission/éducation” chevillée au corps, ce qui explique pourquoi devenir formatrice ou enseignante vous titille depuis des années… sauf que votre croyance « je ne suis pas légitime, je n’ai pas le bon diplôme pour enseigner » vous en empêche. Ou bien vous accordez une grande valeur à l’★autonomie★, à la liberté : c’est peut-être pour cela que l’entrepreneuriat vous attire, mais là encore une croyance du type « je n’ai pas l’étoffe d’une cheffe d’entreprise » fait barrage.

Prendre conscience de vos valeurs peut vous donner l’élan nécessaire pour surmonter vos peurs. Demandez-vous : Qu’est-ce qui compte le plus pour moi dans le travail ? Qu’est-ce qui, dans mes activités passées, m’a le plus fait vibrer ou fière de moi ? Faites la liste de 3 à 5 valeurs essentielles qui vous définissent. Ensuite, confrontez vos croyances limitantes à ces valeurs. Si l’une de vos valeurs principales est, disons, l’aide aux autres, et que vous rêvez de devenir thérapeute, n’est-ce pas là un indice que ce métier a du sens pour vous ? Votre valeur peut servir de moteur pour dépasser la croyance « je ne serai pas à la hauteur émotionnellement ». De même, si vous chérissez la créativité et que vous étouffez dans un job routinier, il y a fort à parier que votre épanouissement passe par un métier plus créatif – ne laissez pas le « je ne gagnerai jamais ma vie dans un domaine artistique » (autre croyance limitante classique) tuer dans l’œuf une aspiration alignée avec qui vous êtes.

D’ailleurs, les études le confirment : lorsque les femmes envisagent une reconversion, c’est avant tout en quête d’épanouissement personnel et professionnel (74 %), d’alignement avec leurs valeurs d’autonomie ou de leadership (responsabilités, pouvoir de décision pour 68 %) ou encore de flexibilité (52 %) parlonsrh.com.

En clair, beaucoup cherchent un métier qui fait sens pour elles et correspond à leurs valeurs profondes.

Vos valeurs sont donc vos alliées : elles vous indiquent la direction à suivre et vous fournissent l’énergie pour y aller, à condition de ne plus laisser vos croyances limitantes tirer le frein à main.

En conclusion : libérez votre potentiel !

Repenser ses croyances et écouter ses valeurs, c’est un travail de développement personnel qui en vaut la peine.

Certes, il faut du courage pour affronter ses peurs intérieures, remettre en question des idées qu’on traîne parfois depuis des décennies.

Mais rappelez-vous : ces croyances ne sont pas des vérités gravées dans le marbre, juste des histoires que l’on se raconte. Et bonne nouvelle, on peut en écrire de nouvelles, plus belles et plus justes ! De nombreuses femmes avant vous ont osé se prouver qu’elles avaient tort de douter : elles ont changé de voie, réussi une reconversion dans un domaine qui les passionne, appris sur le tas ce qu’elles pensaient ne jamais maîtriser… En se libérant de leurs croyances limitantes, elles ont découvert qu’elles étaient bien plus capables qu’elles ne l’imaginaient.

À votre tour, vous pouvez décider de ne plus être la première obstacle sur votre chemin. Identifiez cette petite phrase qui vous bloque, utilisez les outils proposés pour la challenger, et rappelez-vous pourquoi vous voulez évoluer (vos valeurs, vos rêves). Même s’il reste des doutes – c’est humain – avancez quand même, pas à pas. Chaque étape vous prouvera que vous aviez en vous les ressources nécessaires.

Le métier idéal pour vous existe sans doute bel et bien, il vous attend peut-être juste de l’autre côté de cette barrière mentale que vous vous êtes involontairement construite.

Alors, qu’attendez-vous pour faire sauter le verrou ?

Sources : Les chiffres cités proviennent notamment d’enquêtes de référence en France (Ifop, YouGov...) sur la reconversion professionnelle des femmes et le syndrome de l’imposteur parlonsrh.com culture-rh.com michaelpage.fr, ainsi que d’études internationales sur la confiance en soi selon le genre tf1info.fr. Ces données illustrent l’ampleur des freins internes (auto-censure, sentiment d’illégitimité) et l’importance de retrouver confiance pour aligner carrière et valeurs personnelles.

Les exemples et outils s’inspirent de techniques de coaching éprouvées pour dépasser ses croyances limitantes.

En espérant que cela vous aidera à faire tomber les barrières !

Géraldine Gilbert

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